Coup de gueule à partir d’un florilège de situations pas cool du tout vues ou vécues lors d’ateliers, de stages… ou quand la relation de pouvoir prend le pas sur l’accompagnement !




Partage (impose ?) sa vision des choses et semble vraiment désolé que tu n’adhères pas (genre « là je ne peux rien faire pour toi »).
Tu penses que j’invente, que j’en rajoute ? Je préfèrerais !
Accompagnement : la voie vers la puissance personnelle
Ce qui me gêne profondément, c’est le non-respect et une forme de désalignement qui a forcément un impact, même inconscient, sur la relation.
Je suis surprise aussi par le peu de réactions ouvertes de la plupart des participants, même quand il y a un vrai malaise. En gros, interdit de dire quoi que ce soit ! Tout le le monde était comme tétanisé ou craignait la réaction de l’intervenant.
Pourtant, si il y a bien un endroit où s’exprimer (sainement, évidemment) devrait être bien accueilli et même encouragé, c’est bien là !
Je sais que j’ai longtemps recherché la perfection, en moi et à l’extérieur. J’en suis revenue.
J’ai aussi accepté des comportements que je n’accepterais plus aujourd’hui.

Accompagnement et relation de pouvoir
L’approche et les compétences sont essentielles. Toutes les pratiques ne conviennent pas à tout le monde, et c’est super parce qu’il y a largement le choix pour trouver ce qui convient à ta sensibilité !
« l’accompagnant » sont tout aussi essentiels.
Posture et cadre ne veut pas dire « rigide », tout comme être bienveillant n’empêche pas d’être ferme quand c’est nécessaire : c’est un équilibre subtil !
Se faire accompagner, ce n’est pas entrer dans une relation de pouvoir. Il n’y a pas celui qui sait et celui qui n’a pas son mot à dire !
Ce n’est pas être faible non plus. Travailler sur soi est courageux, amène à exposer sa vulnérabilité et à traverser des moments délicats. Alors autant ne pas en rajouter avec des formes de maltraitance ou de pouvoir qui ne disent pas leur nom !
